J’ai eu du mal à rentrer dans ce tome. Le lecteur est directement catapulté dans les magouilles politiques des royaumes du Sud alors qu’il quittait à peine, avec le tome 2, les contrées du Nord. Donc, après un petit temps d’adaptation, le rythme de lecture renaît de ses cendres pour se poursuivre dans la joie et la bonne humeur.
La multiplication des personnages ( aux noms compliqués) et les imbroglios des intrigues politiques rendent ce tome assez sport à lire. Ils se passent énormément de choses en peu de temps. Ce récit est un shoot d’action rondement mené. Le style reste, cependant, fluide et efficace.
Les personnages gagnent en épaisseur malgré quelques stéréotypes récurrent en fantasy ( le grand méchant contrôlant les rêves….)
Un très bon tome, en somme.
Ma chronique est brève mais n’oublions pas qu’il s’agit, en réalité, de la première partie du deuxième tome véritable.
challenge littérature de l’imaginaire: 60/60
ps: admirons la couverture pas du tout kitsch de Pygmalion